Si vous êtes policiers " pur et dur" avec une enquête qui va du point A au point B, sans détours et sans circonvolutions ...... ce "Chinois" ne sera peut-être pas votre tasse de thé ...
En effet , le point de départ, une tuerie sauvage dans un village de Suède, emmène le lecteur dans le passé au Nevada, puis en Chine ( à l'époque de Mao et dans le Pékin d'aujourd'hui ...) avec une halte au Mozambique qui entretient des relations privilégiées avec la Chine.
Tout ça pour éclaircir , dans les 100 dernières pages , le mystère familial et les mobiles de cette tuerie inexpliquée.
L'intérêt du roman réside donc aussi .... si pas principalement dans une série de considérations historiques et politiques ... On sait l'intérêt que MANKELL porte aux problèmes de l'Afrique , particulièrement du Mozambique où il passe une partie de l'année.
D'ailleurs , la revue française TELERAMA ne s'est pas privée de dire que ce "policier"de Mankell s'apparentait fort à un "cours de géopolitique" !!!!
Une fois n'est pas coutume, je prends la liberté de citer l'article de TELERAMA :
" ... En laissant Kurt Wallander se débattre dans sa maladie de Parkinson , le grand Henning Mankell tente de se consoler avec deux nouvelles héroïnes dans "Le Chinois" . Ce roman commence fort bien - le massacre d'un village , dans le nord de la Suède - mais se perd dans une démonstration géopolitique . Le romancier dédaigne trop longtemps son enquête et ses personnages , avant de se rattraper dans les dernières pages , bouclant vite fait son intrigue en deux coups de fusil ......"
Telerama n° 3228 / Novembre 2011.
En effet , le point de départ, une tuerie sauvage dans un village de Suède, emmène le lecteur dans le passé au Nevada, puis en Chine ( à l'époque de Mao et dans le Pékin d'aujourd'hui ...) avec une halte au Mozambique qui entretient des relations privilégiées avec la Chine.
Tout ça pour éclaircir , dans les 100 dernières pages , le mystère familial et les mobiles de cette tuerie inexpliquée.
L'intérêt du roman réside donc aussi .... si pas principalement dans une série de considérations historiques et politiques ... On sait l'intérêt que MANKELL porte aux problèmes de l'Afrique , particulièrement du Mozambique où il passe une partie de l'année.
D'ailleurs , la revue française TELERAMA ne s'est pas privée de dire que ce "policier"de Mankell s'apparentait fort à un "cours de géopolitique" !!!!
Une fois n'est pas coutume, je prends la liberté de citer l'article de TELERAMA :
" ... En laissant Kurt Wallander se débattre dans sa maladie de Parkinson , le grand Henning Mankell tente de se consoler avec deux nouvelles héroïnes dans "Le Chinois" . Ce roman commence fort bien - le massacre d'un village , dans le nord de la Suède - mais se perd dans une démonstration géopolitique . Le romancier dédaigne trop longtemps son enquête et ses personnages , avant de se rattraper dans les dernières pages , bouclant vite fait son intrigue en deux coups de fusil ......"
Telerama n° 3228 / Novembre 2011.
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